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dimanche 20 octobre 2013

Erweina et l'usine à thon (2ème partie)



 Voici la deuxième partie du rêve de Erweina. Certaines aminautes m'ont fait savoir qu'elles attendaient la suite avec impatience !
La voici .....
Si vous avez manqué le début cliquez sur le lien suivant :

Autres articles concernant notre Wena et son fan préféré l'auteur  Indy :
La poiçonneuse des matelas (parodie) :
http://lesangesetlesdiables.blogspot.fr/2013/08/la-poinconneuse-des-matelas-parodie-de.html
Rêve de star :
http://lesangesetlesdiables.blogspot.fr/2013/08/reve-de-star.html 
Erweina et l'usine à thon 1ère partie :
http://lesangesetlesdiables.blogspot.fr/2013/10/erweina-et-lusine-de-thon-1ere-partie.html
Pour accéder au blog de Erweina et Indy c'est sur celui-ci :

 
 ... Le lendemain matin, je reçus la visite d’un gros chat gris et hirsute surnommé "n’a qu’une dent" en raison d’une canine qu’il avait perdue lors d’une guerre fratricide. Le matou en question, caïd des matouni (un gang de chats des rues de la ville voisine), régnait en maître incontesté sur le marché de la sardine et souhaitait s’associer avec moi, histoire de se tailler une bonne part dans le gâteau de ma renommée.



Trop orgueilleuse, je refusais son offre et continuais de mener mes affaires en solitaire. Bien mal m’en pris. "N’a qu’une dent" entreprit de se venger de l’affront qu’il avait essuyé lors de sa visite aux entreprises Wena. Il corrompit Couiny (ma souris W chef d’équipe) en lui offrant un compte en gruyère à vie en échange de bactéries à glisser dans les boîtes de thon pour contaminer la production. Celle-ci accepta sans l’ombre d’une hésitation et quelques semaines plus tard, l’hôpital de la ville prit en charge les premières victimes des boîtes "petite Wena", tombées dans un coma profond.



"N’a qu’une dent" mit la police sur la piste et celle-ci ne traina pas pour venir m’arrêter. Mais il était trop tard, j’étais déjà loin. Je m’étais enfuie la nuit même où le scandale avait  éclaté. J’étais innocente et l’idée même de moisir en prison, dans le froid, l’humidité, sans plaid, ni croquettes, m’était insupportable. 


Pendant que j’étais en cavale, le nombre de personnes victimes de la consommation des boîtes petite Wena n’avait cessé d’augmenter et ce, bien que la production fut stoppée. 



Ma tête fut mise à prix et les polices de nombreux pays me recherchaient activement.

 
Elles avaient même engagé des profilers qui examinaient sans relâche mon portrait à la loupe afin de trouver la faille psychologique qui me perdrait.


 

Je trouvais refuge dans une bâtisse abandonnée en pleine nature. Livrée à mon triste sort, je tentais de survivre, rongée par la tristesse. 

Deux longs mois passèrent pendant lesquels l’envie de savoir ce qu’était devenue mon entreprise, avait grandi un peu plus chaque jour jusqu’à devenir intolérable. 

 



Un matin, n’y tenant plus, je décidais de revenir sur les lieux.

Arrivée sur place, je ne pus y croire ! Mon usine avait brûlé ! 

Le cœur brisé, je m’aventurais à l’intérieur, dans l’espoir de trouver quelque chose qui aurait pu échapper à l’incendie, mais je ne trouvais rien, tout avait été réduit en cendres. 

Accablée, je m’effondrais sur moi-même, ignorant la sirène des voitures de la police qui n’avait jamais cessé de surveiller les lieux. Cela m’était égal, je préférais en finir …


 

 Derrière les barreaux de ma cellule, j’attendais, résignée, que l’on m’apporte ma ration de pain qui m’aiderait à passer la journée. Le temps n’avait plus d’importance, le matin poussait le soir et la nuit, le matin. Je n’espérais plus rien.

 

C’est alors que j’entendis un bruit de croquettes tomber dans un bol. Je devais halluciner pensais-je et je secouais la tête afin de recouvrer mes esprits. Je me rendis compte alors que mes yeux étaient fermés et que j’avais peine à les ouvrir. Après plusieurs tentatives, j’y parvins et mon regard se posa sur le papier peint bleu ciel de la chambre d’Indy. 

J’avais rêvé !! 


 

Le temps de me remettre de mes émotions, je descendis de mon arbre pour aller dans la cuisine, guidée par la voix doucereuse de mon fan préféré.

Auteur : Indy

(Saint-Petersbourg)

7 commentaires:

  1. Brrr! on en a encore le poil tout hérissé devant tant d'injustice et de vilènie!
    En plus, un cauchemar pareil a de quoi te dégoûter du thon pour la vie ou alors te donner des envie de passer Couiny à la quenotte- déchiqueteuse!
    On espère que tu as eu droit à une séance de câlinXXXL après un tel trauma .
    Moustachouilles et ronrons de réconfort!

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    1. Je pense comme toi, une grande séance de câlin pour une Wena traumatisée !!!
      Pôv petite puce ....
      Bisous

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  2. J'ai beaucoup aimé.
    Heureusement ce n'était qu'un rêve !
    Bravo Indy
    Bizzz
    Béa kimcat

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    1. Tu as raison !
      Elle fait de drôle de rêve notre Wena .... M'enfin ... Comme elle dit si bien !
      Bisous

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  3. Bonjour,
    C'est un vrai plaisir de lire ces textes plein d'imagination et de créativité !
    Et en plus accompagnés d'images !!!
    Bravo à l'auteur !

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    1. Indy mérite effectivement un grand bravo !
      Une imagination fertile et une actrice trop chouxxxx !!!!
      Bisous et merci d'être venue faire ce coucou.

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  4. Merci Chantaloup et merci à tous pour vos gentils commentaires, je suis très touchée.

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